Harfan des Granges a joué de malchance en dernier lieu sur l’herbe d’Avignon, prenant peur de la toque d’un rival alors qu’il s’apprêtait à passer à l’attaque. Il découvre l’occasion de se réhabiliter. Sur les 3000 mètres de Borély, il va falloir l’économiser, mais avec un parcours favorable, il a évidemment son mot à dire.